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Hier soir ou plutôt ce matin la séance de self-sm a eu un goût humm de latex, de mouille et de salive. 1.00 et plus comme je le mettais sur le blog. J’ai commencé mon habillage comme l’on commence à s’habiller pour toute seance sm ou bdsm. Ce fût donc long pour obtenir un résultat parfait. Mais me voilà prête : bas, collier, body rouge, body résille ouvert au sein, et au clito et au cul, gants longs en résilles. Je me sens avec lui, toute avec lui, je me laisse aller et déjà mon clito est en train de couler. Un long jet visqueux s’échappe de son gland. Je tourne sur moi-même pour me présenter. J’aime ce moment. Je teste d’abors la sensibilité de mes seins, mon hyper sensibilité s’accroît en période de séances à répétitions. Mes seins auront donc droit à être pincés longuement car j’aime cela. Humm quel plaisir d’enlever les pinces et de caresser fortement le têton à nouveau. Il est temps maintenant de prendre place sur le sofa pour l’expérience : j’ai sorti pour l’occasion mon gode ventouse.

L’expérience de ce soir se fera dans le noir, le noir le plus complet sans aucune lumière de la pièce, mais le noir plus que noir j’ai revêti le loup. Du moins, j’ai tout à fait senti  ses mains me plonger dans la pénombre totale en me mettant le loup. Je sens mon maître de plus en plus fort. Et c’est un « ouvres-la bouche salope » que j’entends et auquel j’obéis. Je place ma tête en arrière j’ouvre la bouche et je prends le gode et le descends doucement, lentement au fond de ma glotte jusqu’à déglutition. La salive monte doucement. Je répèterais l’expérience une dizaine de fois. J’apporterais quelques modifications dans celle-ci en plaçant une pince à linge sur le nez. Mais cela ne produira pas l’effet que je cherchais.

Me voici à quatre pattes pompant le gode toujours dans le noir. Le gode rentre aisément maintenant et va bien plus profond dans ma glotte jusqu’à presque  tout entier mais c’est un bon trois quart que je prends aisément. Me voilà donc avaleuse, bouffeuse. Retour assise sur le sofa. J’entends sa voix « branles, branles, branles, sors ta langue, branles, suces, allez suces, branles ». Je n’entends que cela à vrai dire, mais surtout je l’entends vraiment à lui m’inciter et oui je suis une bonne chienne à laquelle il est inutile de crier dessus tellement j’ai envie d’en faire. Je branle vite très vite. La salive est en quantité super importante en fait. Elle sort toute seule de ma bouche. Je ne sais pas où je suis, ma tête tourne. Je suis même obligé d’arrêter car mon rythme cardiaque s’accèlère.. Je pose et je reprends. Plus fort encore plus fort jusqu’à une jouissance et un orgasme de vraie chienne à tomber sur le sofa. Je me reposes une minute.

La salive sort encore de ma bouche. Mes yeux sont encore sous le loup. Ma langue sort, haletante . Je sens les auréoles de mes têtons toutes douces. Ma main, mes doigts sont appelés à ma bouche je bave, je mouille, je sécrète comme une fontaine. Je fouille ma bouche avec mes doigts pour extirper la moindre goutte de salive que je viens poser sur mes têtons. Je les branle tels deux petits clitos à user, abuser et utiliser. Je me branle comme une bonne chienne et puis c’est l’orgasme fort très fort cette fois je tombe en spasmes sur le sofa. Fin de la séance.

Il fait chaud. Je dégouline mais je ne dégouline pas du haut mais plutôt du bas. Je suis fière de m'afficher comme je le fais en chienne-salope trav et j'ai repris le chemin d'Erog une plate-forme que finalement je n'aurais jamais dû quitter. Non seulement son vice est entrain de me manger, me dévorer toute crue, me transformer en une belle chienne-salope qui sait peut-être en chienne tout court finalement. Je l'ai informé il y a peu de ma dévotion que je lui portais et qu'est-ce qu'il me rappelait. Par tchat encore il n'y a pas très longtemps je suis tombée daccord avec lui. Car il y a des choses que je veux  et je les aurais. "ils" m'ont égaré de nombeux cartons lorsque j'ai efffectué mon déplacement et j'ai des cartons d'habits, de chaussures totalement perdus. Je dois donc repartir en septembre à racheter pas mal de choses. Et c'est ce que je veux faire me racheter du latex, du cuir, du nylon. Etre en collier, oui en laisse oui mais je veux qu'on me regarde et qu'on m'admire. C'est mon côté comtesse sans doute mais j'y tiens. Mais je dégouline toujours du cul, du clito, de la bouche aussi.

Hier soir j'ai fait un truc bien sympa. Hier soir ou plutôt très top dans la matinée j'étais dans ma chapelle aux maîtres comme d'habitude pour traire mon sperme. Je me suis habillée et j'ai pris un temps très long pour passer les mitaines, les bas, la guepière, le collier, et le loup. J'ai eu envie de me sentir comme si j'étais présentée en séance. Je sentais sa présence comme jamais je ne l'ai sentie auparavant. J'ai ainsi porté à ma bouche la cravache je l'ai prise dans mes dents et j'ai serré pour bien la maintenir. Puis j'ai pris la cravache et je me suis fait bien chauffer mes nichons de salope déjà dressés par l'ambiance de la scène. Je me suis ainsi faite chauffer mes nichons, mes têtons. Ils sont d'une hypersensibilité mais je sentais ses doigts me tordres mes pointes dans tous les sens et me femeliser encore et encore. Je suis restée debout et j'ai repris cravache dans les dents, j'en bavais et cela dégoulinait de ma bouche et je me suis branlée comme une vraie chienne je mouillais vraiment comme une vraie femelle. Humm quel pied alors !!!   j'ai joui jai giclé je me suis fait un grand plaisir à verser mon jus dans mon petit récipient de plastique et j'ai ensuite porté le tout à ma bouche et je me suis rebranlée ensuite et encore tellement j'étais excitée. J'ai rejoint mon lit en tirant la langue et en ayant encore envie d'une si belle branle.

J'ai craqué car à force de lire, ses mots et son vice oui j'ai craqué et je lui ai passé mon tel et j'ai donc eu à parler avec ce maitre o combien exaltant. J'aime les hommes murs mais celui-là a un goût particulier dans ma bouche, mon cul et sur mon corps de salope. Nous avons donc discuté des modalités d'une première rencontre en étant habillés le plus ordinairement et notamment pour décider de mon futur projet de chienne salope et de mon éducation. La conversation fût très très chaleureuse et je donnais l'historique de ma vie de salope trav. Le maitre fût charmé et avait compris que j'étais maintennant à l'aube d'être vue, utilisée comme salope en réel. Les moindrs syllabes de sa voix laisser couler mon jus au fond de mon string je me malaxais dans cette humidité vicieuse en écoutant les chapîtres de la grande expérience de dominateur que possédait mon Maître. Plus il parlait plus le vice montait, plus son vice s'installait dans mon cerveau, mais aussi m'entourait. Je proposais avec tout ce qu'il me restait de filet de voix de rencontre mon maitre mais mon emploi du temps ne me le permettait pas. J'étais soit bloquée, soit over-bookée, soit entourée de proches en vacances et je ne pouvais pas bouger. J'aime me travestir, j'aime être travestie, et j'aime la double vie qui me permet de bien ressentir mon rôle de salope. Nous en sommes restés là et aussi courtoisement que le maître m'avait parlé nous en finîmes ainsi. Pour moi rien n'était fini, je partais dans ma chapelle à Maîtres et je commençais une longue descente dans le vice et la luxure. Il m'en avait tellement donné envie que je me mettais à éxécution pour être avec lui même s'il n'était pas là. Je me passais l'une des tenues peut-être les plus putassières que j'avais et je me branlais comme une chienne langue sortie haletante jusqu'à ce que mon jus sorte et j'en buvais tout la coulée jusqu'à la dernière goutte. Je ne pensais qu'à une chose et surtout à cette phrase dite furtivement : tu es et tu le sais et tu seras toujours une salope et une chienne-salope il n'y a pas d'autre issue pour toi et tu le sais. L'echo de sa voix répetant inlassablement cette phrase cognait dans mon cerveau de chienne salope et il cogne encore et tous les jours.