tvsalopedemaitrep31

Je suis une salope travestie. Je traîne mon art de me travestir, d'être une fétichiste depuis vingt bonnes annéeS.  Lorsque ce premier mâle m'a fait écarté les cuisses il y a si longtemps je ne pensais pas devenir la salope que j'étais et totalement assumée aujourd'hui. C'est ainsi que je vais de blog en blog, de site en site(ce ne sont que des oeuvres d'arts). Il y a peu je suis revenue sur un réseau social que j'affectionne beaucoup. J'y ai beaucoup d'amis, et d'amies. C'est là que Maitre P31 est venu et m'a à nouveau reparlé il y a quelques temps. Son franc parler m'a beaucoup plu d'entrée, mais aussi notamment son franc-parler concernant mon corps, mon esprit, mon look. Pour une salope comme moi quelle aubaine !!!!

C'est ainsi que j'ai commencé à discuter avec lui via l'applet de tchat dont on peut se servir sur ce réseau social merveilleux. J'ai toujours grande soif de discussion, de relation, avec des maitres fetish bien que n'était pas une soumise j'aime discuter avec eux ils ont d'une excellente compagnie et le vice qu'ils ont en eux est tout à fait délicieux. Maitre P31 cherchait desuite le premier rendez-vous, le rdv pour parler, discuter et se mettre en relation une première fois et m'évaluer ainsi déjà. Je ne suis pas soumise mais salope oui et j'ai agi en salope en tournant et virant je dois l'avouer. Mais en moi montait le vice, ou plutôt son vice commençait doucement à m'habiter, à me posséder jusqu'à ma dernière neuronne. Maitre P31 était en moi, sa pensée était en moi, ses idées étaient en moi. Mais je laissais faire, je me laissais faire comme une belle salope que je suis. Je savais que je le reverrais vite très vite. Nous prîmes ainsi l'habitude de parler régulièrement. Il me parlait souvent des ses déplacements et de ses envies de me rencontrer en face à face. Je l'écoutais. En fait, c'était simple ma culotte, mon string de femme mature, mon string noir de chiennasse était humide de toute ma mouille. Je ne lui disais pas. Je me délectais de sentir cette humidité m'entourer.